Un extrait du livre ...
Les avertissements s’étalent sur de grands panneaux. Au beau milieu, photographiée sous son meilleur profil, la star, c’est une poubelle. Mais pas n’importe laquelle : la « poubelle de la dernière chance » est destinée à recueillir tous les aliments indésirables (fruits, légumes et produits frais) à l’entrée du Chili. Le pays est réputé pour ses contrôles phytosanitaires très stricts, et nous avons fait un grand ménage de ce qui nous restait avant d’arriver à la frontière. Les douaniers qui nous prennent en charge sont extrêmement courtois. Avant de monter faire leur inspection dans le camping-car, ils nous demandent si nous avons des doutes ou des questions en nous indiquant la fameuse poubelle. Au moment où ils commencent leur vérification, nous nous rendons compte que nous avons une boîte de pâté (nous en avions pris deux, en prévision des jours de cafard où la nourriture française nous manquerait trop. Nous en avons déjà mangé une, non pas sous l’effet d’un coup de cafard, mais parce que nous nous étions mal organisés et n’avions rien d’autre !). Nous craignons un peu qu’elle ne fasse partie des aliments indésirables, mais préférons la déclarer. Aucun problème, elle échappe à la poubelle.
Les avertissements s’étalent sur de grands panneaux. Au beau milieu, photographiée sous son meilleur profil, la star, c’est une poubelle. Mais pas n’importe laquelle : la « poubelle de la dernière chance » est destinée à recueillir tous les aliments indésirables (fruits, légumes et produits frais) à l’entrée du Chili. Le pays est réputé pour ses contrôles phytosanitaires très stricts, et nous avons fait un grand ménage de ce qui nous restait avant d’arriver à la frontière. Les douaniers qui nous prennent en charge sont extrêmement courtois. Avant de monter faire leur inspection dans le camping-car, ils nous demandent si nous avons des doutes ou des questions en nous indiquant la fameuse poubelle. Au moment où ils commencent leur vérification, nous nous rendons compte que nous avons une boîte de pâté (nous en avions pris deux, en prévision des jours de cafard où la nourriture française nous manquerait trop. Nous en avons déjà mangé une, non pas sous l’effet d’un coup de cafard, mais parce que nous nous étions mal organisés et n’avions rien d’autre !). Nous craignons un peu qu’elle ne fasse partie des aliments indésirables, mais préférons la déclarer. Aucun problème, elle échappe à la poubelle.
Entre Santiago et l'Argentine
La cote, Valparaiso, Santiago
San Pedro d'Atacama et le salar
Arica - Humberstone
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