Un extrait du livre ...
Malheureusement, nous sommes un peu pressés dans cette première partie de notre séjour. En effet, l’état de Jean-Christophe est loin de s’améliorer. Sa température est grimpée à 40°C, et sa jambe est énorme, rouge foncé et pleine de plaies qui suppurent. Nous avons contacté par e-mail notre médecin traitant en France, mais à distance, ce n’est pas facile d’établir un diagnostic et une médication. Notre guide précise que le Laos est l’un des pays où il vaut mieux ne pas tomber malade (l’autre, étant le Cambodge, où nous nous rendons ensuite), la qualité des soins médicaux étant loin d’être équivalente à celle des soins en France.
Pas vraiment rassurant, néanmoins, l’hôpital de Luang Prabang semble être recommandable, ce que nous ont confirmé les D. qui ont eu l’occasion de le tester.
Nous nous dépêchons donc de rejoindre Luang Prabang. Enfin, « se dépêcher » est un bien grand mot, car si le premier jour, nous sommes très agréablement surpris par l’état des routes laotiennes, (très éloigné de tout ce que l’on a pu entendre auparavant, les gens ne pensent vraiment qu’à critiquer !), dès le second jour, on comprend que finalement, les critiques sont bien méritées. Il nous faut quatre heures pour parcourir 80 kilomètres … Bon, d’accord, c’est moi qui conduis, mais je pense tout de même que ce n’est pas la seule et unique raison… Malgré cette vitesse de croisière tout à fait minime, Paul se montre très inquiet de me voir prendre le volant. « Papa, tu es sûr que tu ne peux vraiment pas conduire ? » Mais la position de conduite, beaucoup trop douloureuse, et la fatigue nerveuse ont eu raison de Jean-Christophe, qui somnole, écroulé sur le siège passager.
Malheureusement, nous sommes un peu pressés dans cette première partie de notre séjour. En effet, l’état de Jean-Christophe est loin de s’améliorer. Sa température est grimpée à 40°C, et sa jambe est énorme, rouge foncé et pleine de plaies qui suppurent. Nous avons contacté par e-mail notre médecin traitant en France, mais à distance, ce n’est pas facile d’établir un diagnostic et une médication. Notre guide précise que le Laos est l’un des pays où il vaut mieux ne pas tomber malade (l’autre, étant le Cambodge, où nous nous rendons ensuite), la qualité des soins médicaux étant loin d’être équivalente à celle des soins en France.
Pas vraiment rassurant, néanmoins, l’hôpital de Luang Prabang semble être recommandable, ce que nous ont confirmé les D. qui ont eu l’occasion de le tester.
Nous nous dépêchons donc de rejoindre Luang Prabang. Enfin, « se dépêcher » est un bien grand mot, car si le premier jour, nous sommes très agréablement surpris par l’état des routes laotiennes, (très éloigné de tout ce que l’on a pu entendre auparavant, les gens ne pensent vraiment qu’à critiquer !), dès le second jour, on comprend que finalement, les critiques sont bien méritées. Il nous faut quatre heures pour parcourir 80 kilomètres … Bon, d’accord, c’est moi qui conduis, mais je pense tout de même que ce n’est pas la seule et unique raison… Malgré cette vitesse de croisière tout à fait minime, Paul se montre très inquiet de me voir prendre le volant. « Papa, tu es sûr que tu ne peux vraiment pas conduire ? » Mais la position de conduite, beaucoup trop douloureuse, et la fatigue nerveuse ont eu raison de Jean-Christophe, qui somnole, écroulé sur le siège passager.