Un extrait du livre ...
La route qui relie Mae Hong Son à Pai, ancien village hippy, et Soppong est très sinueuse. On l’appelle d’ailleurs La route aux 1864 virages. Impossible de travailler à l’arrière du camping-car, le mal des transports n’est pas loin …
Plus au nord encore, on rejoint Mae Salong par des paysages magnifiques auxquels la brume du début de matinée ou de la fin d’après-midi donne une atmosphère un peu irréelle et presque fantomatique. Les routes sont très pentues, c’est dur avec le camping-car, car il est très lourd. Avant de quitter Chiang Mai, nous avons fait un grand rangement pour essayer de l’alléger un peu. Après deux heures d’effort intense, on a réussi à se débarrasser d’un peu plus d’un sac poubelle … Sur 4 tonnes et demi, ça ne fait pas grand-chose. En plus, il a plu et la chaussée est glissante. Il nous arrive d’avoir des difficultés à monter … alors, on recule, on prend de l’élan, et on fonce en retenant notre respiration, en serrant les dents, les fesses et en espérant que personne ne va arriver en face ! Il y a peu de circulation mais il paraît que les accidents sont fréquents et de nombreux panneaux de prévention routière affichent une campagne on ne peut plus directe : des photos très explicites d’accidentés de la route. C’est violent et dissuasif.
La route qui relie Mae Hong Son à Pai, ancien village hippy, et Soppong est très sinueuse. On l’appelle d’ailleurs La route aux 1864 virages. Impossible de travailler à l’arrière du camping-car, le mal des transports n’est pas loin …
Plus au nord encore, on rejoint Mae Salong par des paysages magnifiques auxquels la brume du début de matinée ou de la fin d’après-midi donne une atmosphère un peu irréelle et presque fantomatique. Les routes sont très pentues, c’est dur avec le camping-car, car il est très lourd. Avant de quitter Chiang Mai, nous avons fait un grand rangement pour essayer de l’alléger un peu. Après deux heures d’effort intense, on a réussi à se débarrasser d’un peu plus d’un sac poubelle … Sur 4 tonnes et demi, ça ne fait pas grand-chose. En plus, il a plu et la chaussée est glissante. Il nous arrive d’avoir des difficultés à monter … alors, on recule, on prend de l’élan, et on fonce en retenant notre respiration, en serrant les dents, les fesses et en espérant que personne ne va arriver en face ! Il y a peu de circulation mais il paraît que les accidents sont fréquents et de nombreux panneaux de prévention routière affichent une campagne on ne peut plus directe : des photos très explicites d’accidentés de la route. C’est violent et dissuasif.
Thailande de Mae Sot à la frontière Laotienne
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