Un extrait du livre ...
Surfers Paradise. Le nom fait rêver, comme Gold Coast ou Sunshine Coast. Dans la réalité, la première plage que nous voyons en Australie ne correspond pas vraiment à l’idée que l’on se fait du paradis. En même temps, c’est vrai que nous ne sommes pas surfers. La plage est belle, mais avant d’apercevoir ces immenses étendues de sable clair sur lequel viennent s’écraser de grosses vagues, il faut passer entre de hauts buildings étincelants et d’immenses centres commerciaux. La côte est bétonnée sur des kilomètres. Comme sur nos plages des Landes, la baignade est dangereuse et surveillée dans un espace délimité par des drapeaux. Un hélicoptère passe régulièrement pour repérer la présence de requins. Les lifesavers sont bien reconnaissables à leur tenue de couleur rouge et jaune et leur petite calotte un peu ridicule à notre goût et dont on ne voit pas bien l’utilité puisqu’elle ne protège même pas du soleil. Mais ça fait partie du dépaysement.
Quant à la ville en elle-même, le Lonely Planet (édition 2007) en fait, d’après nous, un bon résumé : « De l’aveu de ses habitants, si Surfers Paradise était une personne, ce serait Paris Hilton : m’as-tu-vu, kitsch, fêtarde, et douée d’un sens aigu du style et de la promotion. » Miss Hilton n’a peut-être pas apprécié la comparaison (à moins que ce ne soit la municipalité de Surfers Paradise), toujours est-il que dans l’édition suivante (2009), on ne trouve plus qu’une description tout à fait sérieuse et classique des attraits touristiques de Surfers Paradise. En longeant la promenade qui borde la plage, nous comprenons vite que pour ne plus avoir l’air de touristes, il va falloir, pour les filles, adopter la tenue locale : débardeur, mini short (en jean de préférence) et havaianas, et pour les garçons suivre en accéléré des séances de body-building.
Surfers Paradise. Le nom fait rêver, comme Gold Coast ou Sunshine Coast. Dans la réalité, la première plage que nous voyons en Australie ne correspond pas vraiment à l’idée que l’on se fait du paradis. En même temps, c’est vrai que nous ne sommes pas surfers. La plage est belle, mais avant d’apercevoir ces immenses étendues de sable clair sur lequel viennent s’écraser de grosses vagues, il faut passer entre de hauts buildings étincelants et d’immenses centres commerciaux. La côte est bétonnée sur des kilomètres. Comme sur nos plages des Landes, la baignade est dangereuse et surveillée dans un espace délimité par des drapeaux. Un hélicoptère passe régulièrement pour repérer la présence de requins. Les lifesavers sont bien reconnaissables à leur tenue de couleur rouge et jaune et leur petite calotte un peu ridicule à notre goût et dont on ne voit pas bien l’utilité puisqu’elle ne protège même pas du soleil. Mais ça fait partie du dépaysement.
Quant à la ville en elle-même, le Lonely Planet (édition 2007) en fait, d’après nous, un bon résumé : « De l’aveu de ses habitants, si Surfers Paradise était une personne, ce serait Paris Hilton : m’as-tu-vu, kitsch, fêtarde, et douée d’un sens aigu du style et de la promotion. » Miss Hilton n’a peut-être pas apprécié la comparaison (à moins que ce ne soit la municipalité de Surfers Paradise), toujours est-il que dans l’édition suivante (2009), on ne trouve plus qu’une description tout à fait sérieuse et classique des attraits touristiques de Surfers Paradise. En longeant la promenade qui borde la plage, nous comprenons vite que pour ne plus avoir l’air de touristes, il va falloir, pour les filles, adopter la tenue locale : débardeur, mini short (en jean de préférence) et havaianas, et pour les garçons suivre en accéléré des séances de body-building.
Australie - d’Adélaïde à Sydney par Melbourne
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Australie - de Byron Bay à Adélaïde par Broken Hill
Australie - Brisbane - Cairns - Carnarvon Gorge
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