Un extrait du livre ...
« Could you help me, please ? I’m afraid I’ve lost my husband… » (Pourriez-vous m’aider s’il vous plaît ? Je crois bien que j’ai perdu mon mari). Les deux douaniers me regardent avec perplexité avant d’échanger quelques mots en malais. Pour la troisième fois, je reprends mes explications : partis le matin de Singapour, Jean-Christophe et Alisée sont allés récupérer le camping-car au port avec un camion de remorquage de l’Automobile Club qui devait les déposer à la frontière. Les garçons et moi avons fait le trajet en bus, le camion ne pouvant transporter que deux passagers.
Après 3 heures à les attendre, je commence à me demander si nous sommes bien arrivés au même endroit, combien il existe de postes frontière, ce que nous allons bien pouvoir faire sans aucun moyen pour nous joindre (nous n’avons qu’un téléphone qui marche sur les deux).
Nous finissons donc par aller demander l’aide des douaniers qui nous entraînent de bureau en bureau, et, après de multiples appels, nous confient aux soins de la police. Les garçons, imperturbables, me suivent docilement tout en lisant.
« Could you help me, please ? I’m afraid I’ve lost my husband… » (Pourriez-vous m’aider s’il vous plaît ? Je crois bien que j’ai perdu mon mari). Les deux douaniers me regardent avec perplexité avant d’échanger quelques mots en malais. Pour la troisième fois, je reprends mes explications : partis le matin de Singapour, Jean-Christophe et Alisée sont allés récupérer le camping-car au port avec un camion de remorquage de l’Automobile Club qui devait les déposer à la frontière. Les garçons et moi avons fait le trajet en bus, le camion ne pouvant transporter que deux passagers.
Après 3 heures à les attendre, je commence à me demander si nous sommes bien arrivés au même endroit, combien il existe de postes frontière, ce que nous allons bien pouvoir faire sans aucun moyen pour nous joindre (nous n’avons qu’un téléphone qui marche sur les deux).
Nous finissons donc par aller demander l’aide des douaniers qui nous entraînent de bureau en bureau, et, après de multiples appels, nous confient aux soins de la police. Les garçons, imperturbables, me suivent docilement tout en lisant.
Malaisie
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